La fabrique des images

DU MARDI 16 FÉVRIER 2010 AU DIMANCHE 11 JUILLET 2011

Musée du Quai Branly, Paris

Après Qu’est-ce qu’un corps ? et Planète Métisse, la troisième grande exposition d’anthropologie du musée du quai Branly propose au public de découvrir une "fabrique des images" qui touche les cinq continents.

Pour ce faire, en 160 oeuvres ou objets, elle donne à voir ce qui ne se voit pas d’emblée dans une image, à travers un décryptage des grandes productions artistiques et matérielles de l’Humanité.

La compréhension des images se fonde en effet sur quatre grands modèles iconologiques créés par l’Homme, que ce soit en Afrique, dans l’Europe des XVe-XVIe siècles, dans les Amériques des Indiens d’Amazonie ou des Inuit d’Alaska, jusque dans l’Australie des Aborigènes. Ces modèles iconologiques qui traduisent quatre grandes visions du monde sont désignés par les termes de totémisme, naturalisme, animisme et analogisme.

Sur le dandysme aujourd'hui

15 January - 21 March 2010

CGAC Centro Galego de Arte Contemporánea.
Santiago de Compostela - SPAIN

Sur le dandysme aujourd'hui attempts to show how many of the concepts and strategies developed by nineteenth-century dandies can be found in the work and attitudes of certain contemporary artists, and how the iconography and themes of the literature of dandyism are still significant. To do so it takes three landmarks in the unusual history of dandyism-George Brummell, Charles Baudelaire and Oscar Wilde-and studies the way in which each of their contributions are reflected in the art of recent decades.

À la cour du Grand Turc : les caftans du palais de Topkapi

Musée du Louvre, Paris : du 24 octobre 2009 au 18 janvier 2010

L’exposition fait revivre les fastes de la cour ottomane et l’apparat du sultan. Elle regroupe caftans, bijoux et accessoires ayant appartenu aux membres de la maison ottomane et provenant, en grande majorité, du musée du Palais de Topkapi. Ces effets, témoins de la longévité de la dynastie ottomane (1299-1922), furent préservés durant des siècles dans les mausolées impériaux d’Istanbul ou entreposés dans l’ancien Trésor privé du Palais. Objet d’un entretien régulier, ils étaient enveloppés dans des housses en tissu, des bohça-s, étiquetées au nom du sultan qui les avait portés. Ils forment aujourd’hui une collection unique au monde, riche de plus de 3000 pièces, et dont une petite partie est exceptionnellement prêtée au musée du Louvre.