The Museum at FIT is one of a select group of specialized fashion museums, including the Musée de la Mode, the Mode Museum, and the Museo de la Moda. For the 100,000 people who visit The Museum at FIT each year, we work to create exhibitions, programs, and publications that are both entertaining and educational. The mission of the Museum is to collect, conserve, document, exhibit, and interpret fashion. Founded in 1969, the Museum was installed in the current building in 1974, and exhibitions began to be presented in 1975.
mercredi 28 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
Le visage- n° 15 - Cahier de l'observatoire Nivea
Rôle social, singularité individuelle, incarnation d’identité… Ce sont autant de questions que soulève le dernier cahier de l’Observatoire NIVEA grâce aux points de vue de 5 auteurs différents, tant sociétal, historique que médical.
lundi 26 décembre 2011
Azzedine Alaïa in the 21st Century
From 11 December 2011 to 6 May 2012, the Groninger Museum (Netherlands) will present the exhibition entitled Azzedine Alaïa in the 21st Century. This exhibition displays the most fantastic Alaïa fashion creations of the last ten years. Alaïa is one of the last major couturiers still active.The exhibition is a follow-on to the overview of his work shown in the Groninger Museum in 1998, which was subsequently displayed at the Brant Foundation in New York in 2002.
lundi 19 décembre 2011
Tout ce que vous voulez savoir sur les chaussures à plate-forme et talons [video]
Une très intéressante video faite à l'occasion de l'exposition "On a Pedestal: From Renaissance Chopines to Baroque Heels" au Bata Shoe Museum (nov. 2009-sept. 2010)
jeudi 15 décembre 2011
Revue de l'Art - Costume de cour au XVIe siècle [revue]
Revue de l'Art - N°174/2011-4
Editorial
Isabelle Paresys, Le costume en France à la Renaissance
Etudes
Murielle Gaude-Ferragu, Habit réel, habit imaginé. La reine de France en majesté, XIVe - début du XVIe siècle
Monique Chatenet, Anne-Marie Lecoq, Le roi et ses doubles. Usages vestimentaires royaus au XVIe siècle
Alexandra Zvereva, « Tout beau, tout esclatant, tout brave, tout superbe » : le vêtement dans les portraits
Margaret M. McGowan, Costumes pour la danse
Maria Hayward, Quelle influence de la mode française à la cour d’Angleterre au XVIe siècle ? “ One frenche gowne of blacke clothe of gold ”
Isabelle Paresys, De la cour de France aux petits métiers. Figures d’habits sous Henri III
Michèle Bimbenet Privat, Bijoux et costume à la cour de France
Olivier Renaudeau, Porter l’armure en France au XVIe siècle
Tiphaine Gaumy, De l’histoire du couvre-chef au XVIe siècle
Découverte
Giancarlo Malacarne, Somptueux colifichets pour la reine Catherine
Bibliographie critique
Nécrologies
Michel Laclotte, Luciano Bellosi (1935-2011)
Pierre Rosenberg, Sir Denis Mahon (1911-2011)
Se vêtir à la cour en Europe (1400-1815) [livre]
C’est à la cour, lieu du paraître par excellence, que s’exprime le plus la préoccupation des sociétés pour les apparences. Que signifie la façon de se vêtir dans cette « société du spectacle » ? Le paraître vestimentaire y est un puissant moteur de pratiques culturelles qui touchent au corps et à l’identité. Il active toute une économie du luxe et alimente la dynamique des échanges entre les cours européennes. Cet ouvrage aborde le vestiaire des princes et de leurs courtisans entre 1400 et 1815, en plein essor de la société curiale. Les souverains ont été parmi les premiers à avoir pris conscience du pouvoir de l’habit et l’ont porté au plus haut degré de raffinement. Se vêtir, c’est aussi régner et gouverner. Loin d’être figé par un système contraignant de codification des apparences, l’habit de cour se définit en fonction de la mode dans laquelle il joue un rôle décisif, notamment en matière de circulations internationales. Élément d’une culture matérielle somptueuse du passé, l’habit de cour perdure dans notre culture visuelle. Sur les podiums de la haute couture ou à l’écran, il reformule des apparences qui relevaient, en leur temps, elles aussi, de la performance des corps et des textiles.
Isabelle Paresys et Natacha Coquery (éd.), Se vêtir à la cour en Europe (1400-1815),Villeneuve d'Ascq, Centre de recherche du château de Versailles, Institut de recherches historiques du Septentrion et CEGES université de Lille 3 (collection Europe
du Nord-Ouest), octobre 2011.
18,40 € jusqu’au 31 décembre 2011 (23€ ensuite)
Pour lire les compte-rendus sur l'ouvrage:
- sur Histara, par Pascale Cugy, le 31/01/2012.
Pour lire les compte-rendus sur l'ouvrage:
- sur Histara, par Pascale Cugy, le 31/01/2012.
Pour ACHETER le livre, cliquer ici.
Pour en savoir plus (table des matières), cliquer ici.
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Power
Dressing at Court in Europe (1400 –1815)
Edited
by Isabelle Paresys and Natacha Coquery
The
royal court was a place to see and be seen, and nowhere has society’s concern
for appearances been more visible. What did the manner of dress convey in this
“society of the spectacle”? Sartorial appearance was a powerful driving force
behind cultural practices relating to the body and identity. It activated a
whole luxury market and fuelled the dynamics of exchange between the European
courts. This volume looks at the attire of royals and courtiers in Europe
between 1400 and 1815, a period that saw the rise of court society. Kings and
queens were among the first to understand the power of clothing and wore it to
the highest degree of sophistication. Dress was a means to govern and to rule.
Far from following a rigid system of codified appearances, court dress followed the
fashion of its time, in which it played a key role at home and abroad. While
court dress was an important part of this sumptuous, material culture of the
past, it endures in our visual culture today; on haute couture runways and on
the screen, costume gives new meanings to appearance, inextricably linked, as
ever, to the performance of the body and of textiles.
Learn more on : http://veticoursymposium2009.blogspot.com/
For sale on: http://commandes.recherche.univ-lille3.fr/publications/irhis/379-se-vetir-a-la-cour-en-europe-1400-1815.html
For sale on: http://commandes.recherche.univ-lille3.fr/publications/irhis/379-se-vetir-a-la-cour-en-europe-1400-1815.html
mercredi 14 décembre 2011
Se vêtir à la Cour [programme de recherche]
Se vêtir à la cour - programme du Centre de recherche du château de Versailles (2008-2011)
Éléments essentiels du « paraître », les manières de se vêtir définissent les identités distinctives du prince et du courtisan, tout comme elles différencient les identités et les conditions dans la société moderne en général. Souvent abordé au détour de questions politiques ou de sujets relatifs à la vie quotidienne dans les cours européennes, le costume de cour n’a jamais été traité en tant qu’objet d’étude à part entière, en raison de l’hétérogénéité (textes, images, objets) et de la dispersion géographique des sources, d’où la constitution d’une équipe pluridisciplinaire et internationale. Sans écarter la problématique désormais classique de la relation entre vêture et pouvoir, le programme de recherche propose un autre regard sur les apparences vestimentaires des groupes dirigeants, quittant le seul point de vue du prince pour se placer également du côté de l’usage et des usagers du paraître vestimentaire dans le microcosme curial. Cette approche induit la question de la règle et de l’usage ainsi que celles de l’économie du paraître et de la circulation de modèles vestimentaires entre les cours.
mardi 13 décembre 2011
Centre for Fashion Studies [centre de recherche et d'études]
The Centre for Fashion Studies was established at Stockholm University in 2006.
The Centre for Fashion Studies is a self-contained subdepartment of the Department of Art History. The Centre consists of fourteen employees and have approximately 250 students.
The current staff is trained in Art History and Theory, Cinema Studies, French Literature, Gender Studies, History, Marketing and Performance Studies. The Centre have students on all levels and fund and employ six PhD Students.
The current staff is trained in Art History and Theory, Cinema Studies, French Literature, Gender Studies, History, Marketing and Performance Studies. The Centre have students on all levels and fund and employ six PhD Students.
What is Fashion Studies? Read more.
the Danish National Research Foundation's Centre for Textile Research (CTR) [centre de recherche]
In 2005-2015, the Danish National Research Foundation's Centre for Textile Research (CTR) focuses on textile history. This is being realised via substantial research programmes, as well as via the research training of young scholars, and a variety of activities connected with textile history involving universities, museums and design schools. The CTR organises seminars, conferences and courses in textile history on all academic levels.
CTR is located at the University of Copenhagen/SAXO Institute and at the National Museum of Denmark.
The overarching theme to be explored in the period between 2010 and 2015 is the connection between textile, environment and society in the 1st and 2nd millennium BC.
DressID project - Clothing and identities. New perspectives on textiles in the Roman Empire
Project Description
The main objectives of the DressID project are to provide a position in cultural history for clothing and textiles in Antiquity, and to demonstrate how clothing is a key to identity studies. The interdisciplinary collaboration will strengthen the networks and exchange of knowledge and ideas of European scholars and combine various scientific traditions in Europe. The research programme is made possible with the support of the Culture Programme of the European Union.
The Roman Empire
The Roman Empire forms the frame of the project. At the time of its maximum extent in the 2nd century AD, the Roman Empire incorporated the territory of most of the present-day members of the European Union, the Balkans, and the entire Mediterranean seaboard. It also had an outstretching web of diplomatic and economic relations with peoples living beyond its borders. With its richness in diverse sources — archaeological finds, images and texts — the Roman Empire provides a perfect opportunity for investigations of cultural uniformity and diversity. Its pervading political and administrative structures present an excellent platform for identity studies on all levels.
Clothing and identity
Clothing serves as a major tool for communication on a non-verbal level. It expresses relational constructions within groups, and it demonstrates affiliations or debarment as well as ethnicity, social rank, profession, gender and age. Clothing may reveal the regional origin of the bearer, present variations in local costumes, and it reflects the correlation between tradition and innovation in a highly visible way. Dress is used — consciously or unconsciously — to express identity and it carries information about the ethnic, social or religious affiliation as well as the profession, gender and age of the wearer.
Multidisciplinary research
Numerous textile experts and institutions all over Europe carry out specific investigations concerning Roman clothing on an individual basis. Within the DressID project they join an interdisciplinary programme in order to reach new insights. This multidisciplinary approach combines and includes results gained by archaeology, ancient history, and epigraphy with physical and chemical analyses as well as systematically conducted tests of tools and techniques. The investigating groups consist of researchers with various exploratory foci. It is their aim to interweave the specialists’ knowledge into a large network of information on textile questions, and to bridge the ranges of specialised knowledge in order to get a broader view and a better understanding of the social significance of clothing in the Roman world.
Portraits and Personal Experience in Renaissance Europe, c.1400 – 1650 [appel à contributions]
The First Annual Postgraduate Renaissance Symposium: ‘Beyond the Frame: Portraits and Personal Experience in Renaissance Europe, c.1400 – 1650’
The Courtauld Institute of Art, Somerset House, Strand, London WC2R 0RN, April 28, 2012
Proposals submission deadline: 20 January 2012
Organised by: Emily Gray and Harriette Peel (The Courtauld Institute of Art)
In Renaissance art historical scholarship, the category of the portrait has provided a key framework for thinking about and discussing representations of the individual, an emphasis that has been echoed in a range of recent exhibitions celebrating Renaissance ‘faces’.
The inaugural Renaissance postgraduate symposium invites new scholars to explore the limits of this framework. It aims to encourage students of the Renaissance, in its broadest definition, to consider the domestic, devotional and urban environments of portraits. Contributors are invited to consider how the experience of viewing, commissioning and living with portraits affects our understanding of their meaning and function, situating the images within their historical contexts rather than within the museum’s exhibition space. Likewise, we invite participants to challenge the terminology of portraiture and to consider objects and images which do not fit into the conventional category of the ‘portrait’ but which nevertheless ‘portray’ individuals.
Please send proposals of 250 words for papers of 20 minutes, and a short biography to:
renaissance.consortium@courtauld.ac.uk by 20 January 2012.
samedi 10 décembre 2011
La repousse du poil. Barbe et moustache, un effet mode.
Un documentaire amusant sur le retour en force du poil de barbe et sur la différence entre "avoir une barbe" et "avoir de la barbe".
Mis en ligne sur You Tube mais sans citer sa source ni l'auteur !
La barbe. Un sujet à la mode [livres, exposition]
L'exposition : « FIOR DI BARBA : la Barbe dans l’Art entre Sacré et Profane » [Paris - Galerie Maurizio Nobile, jusqu'au 23 décembre 2011]
Fruit de la recherche de l’antiquaire Maurizio Nobile,
toutes les œuvres ont un seul dénominateur commun : la barbe et son rôle
tel qu’il apparaît au cours des siècles. Des œuvres à thèmes mythologiques
côtoient des peintures liées à la tradition judéo-chrétienne pour finalement
guider l’œil du spectateur vers une série de portraits de personnages
importants, réalisés entre le Cinquecento et l’Ottocento.
Jean-Marie Le Gall, Barbes et moustaches XVe-XVIIIe siècles, Paris, Payot, 2011. [livre]
Le sujet peut prêter à sourire. Est-ce bien sérieux pour un historien que de traiter de barbes et de moustaches ? De nos jours où la barbe est un indice de fondamentalisme ou d'archaïsme, l'avenir est au glabre. Mais qu'en était-il sous l'Ancien Régime ? Dans la lignée d'une certaine histoire du corps, Jean-Marie Le Gall est intimement convaincu qu'hier comme aujourd'hui elle reste un identificateur social chargé de sens.
Si le glabre domine en Europe à la fin du Moyen Age, la pilosité faciale devient au début du XVIe siècle un phénomène de mode, né dans les cours princières d'Italie. Les défaites subies par la péninsule ont en effet mis à mal la virilité des Italiens, qui redéfinissent un nouvel idéal masculin et chevaleresque. Un idéal qu'incarnent à la perfection trois jeunes souverains arborant fièrement barbes et moustaches : François Ier, Henri VIII et Charles Quint. Vite adoptée par la noblesse puis par la bourgeoisie, cette prolifération du poil envahit tous les visages d'Europe pendant plus d'un siècle avant que le lisse ne l'emporte à nouveau à la fin du XVIIe siècle. Symbole des gens de pouvoir et de savoir, elle est à la fois un élément de hiérarchisation sociale, au même titre que les vêtements, de supériorité raciale, l'homme poilu européen étant forcément plus accompli que l'Indien imberbe, ainsi qu'un marqueur religieux. L'avènement d'un univers plus policé et plus civilisé, celui de la galanterie, sonne toutefois le glas de la pilosité faciale. Dès lors, la barbe semble l'expression désuète d'une masculinité arrogante et doit céder la place à la perruque, qui assure aux élites la distinction nécessaire.
A la confluence de l'histoire des mentalités, des représentations et du sensible, l'auteur nous convie à un impertinent voyage au pays de cette virilité que les hommes n'ont jamais cessé d'interroger.
Le commerce du luxe- Le luxe du commerce [appel à contributions]
Comment se produisent, s’exposent, se diffusent et se consomment les produits du luxe ? Le but du colloque est de revenir sur la question de la spécialisation progressive d’un commerce voué aux objets précieux. Il entend être une manifestation ouverte d’un point de vue chronologique, spatial et disciplinaire, faisant appel à des spécialistes d’horizons différents : histoire, histoire de l’art, économie, littérature, sociologie, etc. Il s’agira de montrer la richesse et la diversité de ce qui était (et reste) compris sous l’appellation de ‘luxe’ et d’observer comment se sont progressivement mis en place des marchés spécialisés. Deux approches spécifiques sont menées, d’une part les acteurs et les marchandises, d’autre part les lieux de vente et la puissance matérielle et symbolique attachée à ce secteur particulier de l’économie.
Le colloque aura lieu à Lyon les jeudi 22 et vendredi 23 novembre 2012 (Musée Gadagne).
La date-limite pour la soumission des propositions est le 31 décembre 2011.
S'habiller à la soviétique. La mode et le dégel en URSS [livre]
Moscou, juin 1959. Les mannequins de la Maison Dior défilent au Palais des sports. Pendant ce temps, les Soviétiques ordinaires font la queue des heures durant devant les magasins et cherchent désespérément de quoi se vêtir. La mode a pourtant droit de cité au pays du socialisme. Des revues spécialisées existent, les nouvelles tendances lancées par les créateurs moscovites passent aux actualités cinématographiques, tandis que les zazous soviétiques arborent pantalons moulants, vestes bariolées et cravates lacets...
L'univers de la mode reflète toutes les contradictions du Dégel et de la déstalinisation. Les tentatives pour "éduquer le goût" des Soviétiques, les efforts pour adapter la production vestimentaire à la demande, la timide ouverture de la société vers l'Occident cohabitent avec un système fortement hiérarchisé et centralisé. À partir d'archives inédites, Larissa Zakharova dresse un tableau passionnant de la vie quotidienne de millions de Soviétiques. Et montre que, dans une société qui se proclame égalitaire, la distinction sociale passe d'abord et surtout par la façon de s'habiller.
Larissa Zakharova, S'habiller à la soviétique. La mode et le Dégel en URSS, CNRS, coll. « Mondes russes », 2011.
Brocards des XVe et XVIe siècles [livres]
La technique des brocarts appliqués est maintenant percée à jour ! L'Institut Royal du Patrimoine artistique de Belgique vient de publier un ouvrage important sur cette technique d’imitation en relief des textiles de brocarts mise au point dans les anciens Pays-Bas et diffusée dans toute l’Europe aux xve et xviesiècles: le résultat de dix années de recherche et une référence internationale pour l’étude et le traitement respectueux de la polychromie des sculptures, des décors en relief de certaines peintures et peintures murales.
I. Geelen, D. Steyaert
Imitation and Illusion
Applied Brocade in the Art of the Low Countries in the Fifteenth and Sixteenth Centuries
Imitation and Illusion
Applied Brocade in the Art of the Low Countries in the Fifteenth and Sixteenth Centuries
éditeur : Brepols, 2011
Beauty as Duty. Textiles and the Home Front in WWII Britain [exposition/exhibition]
October 8, 2011 - MAy 28, 2012 - Museum of Fine Arts - Boston (USA)
The British experience during and after WWII was quite different from that of Americans. From the fall of 1940 through the spring of 1941, Britain was subjected to relentless bombing in a terror campaign known as the Blitz. Even after the Allied victory, Britain continued to suffer shortages of everyday supplies, and rationing of both food and clothing continued. This exhibition looks at ways that textiles were put into service on Britain’s Home Front in the 1940s. Mass-produced “utility” clothes had to conform to strict government regulations, yet managed to be fashionable. Colorful scarves printed with motifs relating to British life during and after the War—many by the high-end London textile firm Jacqmar—were a practical way to spruce up a look. Utility dresses and propaganda scarves showed how fashion could be used as a powerful weapon to maintain morale in challenging and austere times. During a decade of extreme hardship, rationing and deprivation in Britain, beauty (in measured amounts) was not frivolous, it was a patriotic duty.
The objects featured are gifts and promised gifts to the Museum from the collection of Jean S. and Frederic A. Sharf. Mr. Sharf's passion for wartime London began in 1952, when he volunteered as a teenager in London's East End, an area especially hard hit by the Blitz. There he witnessed firsthand the resilience of the British people—a theme that resonates in the scarves and fashions presented in the exhibition.
mardi 6 décembre 2011
Corps et séduction : du charme à la manipulation [colloque]
Le Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines organise, les 7 et 8 décembre 2011, un colloque international autour du thème « Corps et séduction : du charme à la manipulation ». Au programme de ces deux jours : mystères des apparences et périls de la séduction ; art, création, invention : corps transformés, corps fantasmés ; hommes irrésistibles et femmes fatales ; stars et modernité de la séduction.
Pour consulter le programme du colloque, cliquer ici.
Lieu du colloque : Université de Versailles Saint-Quentin, Auditorium de la bibliothèque universitaire
Master "Art History: Dress & Textile Histories" [formations]
The Master in Dress & Textile Histories creates specialists in the curation, interpretation and preservation of dress and textiles in museums, galleries, archives and historic interiors.
University of Glasgow.
University of Glasgow.
dimanche 4 décembre 2011
Tenir boutique à Paris au XVIIIe siècle. Luxe et demi-luxe [livre]
C’est
de sa vitalité commerçante au xviiie siècle
que Paris tire sa renommée de capitale de la mode. Cette étude propose de
découvrir le fonctionnement de la boutique, noyau de l’institution marchande,
en l’observant dans son quotidien et dans les réseaux sociaux et territoriaux
dans lesquels elle s’inscrit. Elle présente ses difficultés, ses clients et le
jeu marchand sur la qualité des produits ; l’innovation commerçante
bouleverse les habitudes et les traditions. La capacité des boutiquiers à
inventer un marché qualifié de demi-luxe, parce qu’il a gardé l’apparence du
luxe et qu’il s’ouvre par ses prix à une clientèle élargie, est capitale dans
cette dynamique. Se crée un code du commerce et de l’échange où les habitudes
anciennes, le troc et le crédit, coexistent avec le changement des modes de
consommation et la naissance de nouveaux besoins.
En
observant la boutique sous trois angles – culturel, géographique et
économique –, Natacha Coquery apporte au lecteur un formidable éclairage
sur le rôle des boutiquiers dans l’élargissement social du marché et
l’avènement d’une culture de consommation. Elle dépeint un monde marchand
entreprenant et actif, sans en cacher les faiblesses, dans un siècle ambigu qui
balance entre archaïsme et modernité.
Natacha
Coquery est professeur d’histoire moderne à l’université de Lyon II, spécialiste
de la consommation, du crédit et du marché du luxe au xviiie siècle.
Ce livre est issu de sa thèse d’habilitation à diriger des recherches.
Préface de Daniel Roche
Natacha Coquery, Tenir boutique à Paris au XVIIIe siècle. Luxe et demi-luxe. Paris, CTHS. 28 €
jeudi 1 décembre 2011
Prints ! In fashion and costume history 1750-200
Exposition du 25/06/2011 au 08/01/2012 à Hasselt au Modemuseum de Hasselt (Belgique)
Les textiles imprimés sont une forme d’art décoratif, tant pour les intérieurs de maison que les vêtements. La diversité des motifs reflète la tendance collective et l’esprit du temps de certaines périodes. En outre, l’impression de textiles constitue aussi un processus complexe et industriel soumis à la modernisation, à la mécanisation, à la recherche et à l’évolution technologique.
Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, les motifs étaient principalement dérivés du modèle fleuri original d’Inde, mais la révolution industrielle a marqué un changement. Au début du XIXe siècle, l’impression de textiles est devenue un processus industriel qui a continué à se développer jusqu’à aujourd’hui sous l’impulsion de la science et de la mécanisation.
La mode actuelle propose aussi une grande variété d’imprimés soumis à certaines tendances. L’offre va de références à des modèles historiques (paysages, illustrations florales et bucoliques) en passant par de nouveaux motifs expérimentaux. Divers concepteurs et maisons de couture comme Emilio Pucci, Dries Van Noten, Hermès (carré) et Missoni en ont fait leur marque de fabrique.
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